Ce matin très belle route en lacet pour atteindre le mirador de Roc del Quer au-dessus de Canillo.
Nous herborisons le long d’un talus très fleuri et découvrons de nombreuses espèces :Rhamnus alpina, Oxytropis halleri et neglecta, Coristospermum lucidum, Laserpitium gallicum et latifolium …….
Cette année, notre week-end botanique s'est déroulé en Andorre du 6 au 10 Juillet.
Notre voyage se termine à notre Dame des Anges de Pignans, perchée sur le deuxième sommet des Maures à 768 m, haut lieu d'un pèlerinage contre la paresse même si aucun d’entre nous n’a besoin de se transformer en pèlerin.
Une fois de plus nous constatons les ravages causés par la sécheresse. Le fleurissement n’est pas à la hauteur de celui de l’année dernière.
Nous arrivons déjà au terme de notre voyage dans le Var.
Nous quittons les hauteurs du Lavandou pour retrouver le niveau de la mer sur la longue plage de sable fin de Port Porthuau.
Cette matinée ensoleillée sur les hauteurs du Lavandou nous a permis d’admirer un paysage maritime à couper le souffle. Le Vallon Saint Clair est connu pour ses « forêts » d’Euphorbia dendroides. Nous n’avons pas été déçus.
Nous terminons la journée par une visite du Jardin des Méditerranéens du Rayol, espace naturel protégé de 20 ha, propriété du Conservatoire du littoral, au pied du Massif des Maures et face aux Iles d’Hyères.
Nous sommes guidés par Eden qui a su nous captiver pendant une heure et demi.
Ce matin, longue route sinueuse pour arriver sur la magnifique plage de Ramatuelle, la plage de l’Escalet. Ses eaux incroyablement cristallines dignes de celles des plages de Polynésie nous attirent.
Les augures n’étaient pas favorables. Le vent soufflait fort pour notre traversée et la météo nous prévoyait une houle de deux mètres. Malgré cela notre mini-croisière s’est déroulée très agréablement sur le pont supérieur du bateau.
Après notre pique-nique à Collobrières, capitale varoise du marron glacé, nous partons en direction de la Chartreuse Notre-Dame Clémence de La Verne. Nous cheminons lentement le long du sentier qui mène à la Chartreuse, traversant une yeuseraie aux troncs à la hauteur impressionnante et une châtaigneraie d’âge canonique qui a hélas souffert d’incendies importants.